Le blog de soumisesara.erog.fr

Maître et moi avons débuté, pour mon plus grand bonheur, notre relation D/s le 13 juillet 2010.

 

Avant cela j'étais sans collier et livrée à moi même depuis environ 3 mois. Moment auquel Monsieur mon ancien et premier Maître et moi nous sommes séparés.

Puisque je n'ai pas toujours été votre soumise, Maître, permettez moi de me présenter à vous.

 

J'ai choisi de me soumettre à mon premier Maître par amour pour lui.

Il connait les joies et les plaisirs BDSM depuis presque 10 ans. Avant d'être Dom' il a été soumis, puis switch. Maîntenant il est et demeure Dom'.

Nous nous sommes rencontrés dans un cadre plutôt libertin. Nos goûts culturels, et nos passions communes ont tôt fait de nous rapprocher. C'est ainsi qu'une relation fusionnelle s'est installée entre nous.

Nous baisions merveilleusement bien, l'amour était aussi magique. Pourtant je sentais que quelqueschose lui manquait. Mais quoi ?

 

Puis il a commencé à faire montre d'un caractère plus autoritaire : douceur et fermeté s'installaient dans notre vie de couple. Je l'aimais, je laissais faire...

Jusqu'au jour où il m'a envoyé ce mail :

"ma pute,

Puisque tu es ma femme tu es aussi ma pute, et je t'interdis de rougir de ce terme. Tu dois en être fière. Toujours.

Ce soir lorsque je rentrerai, je veux que tu sois nue sous ta robe.

Tu porteras les vêtements et souliers que j'ai posé sur le lit. Tu n'aimes pas cette tenue, je le sais et tu me l'as dit lorsque je t'ai montré cette robe. Pourtant tu feras comme je te l'ordonne, car tu m'aimes et que tes plus beaux atours sont le désir et l'envie que tu provoques en moi.

Fais toi belle et farde toi comme le soir de notre première rencontre. Porte les couleur de la luxure. Sois belle, sois chienne.

Ce soir, ma pute, tu comprendras.

NB : Ne réponds pas à ce mail et garde le silence jusqu'à ce que tu sois autorisée à parler"

 

Comme nous en avions beaucoup, je croyais qu'il s'agissait d'une de nos fantaisies habituelles. Je décidais donc de m'exécuter et de lui offrir ce plaisir. A ce moment, je pensais qu'il saurait me remercier et m'en donner en retour.

Je me trompais lourdement..

 

Ce soir là, commencait mon initiation.  

 

Voici comme cela s'est déroulé :

 

Dés son arrivé à la maison, il me demandait de lui présenter mon cul. Il y enfonça un plug bijou. Maintenant tu es prête. Prends ton manteau, le taxi nous attend.

Une fois dans la voiture, il m'envoyait un sms : "relève ta robe sur tes cuisses de salope, écarte bien tes jambes et tiens toi droite, la poitrine bombée. Je veux voir le cristal du plug se refléter dans le rétro.

Ou tu t'éxecutes ou je t'attache au lit et te pince les seins et ta chatte de pute dés notre retour... Et surtout souris. Tu dois être fière que je t'ai choisie toi et pas une autre."

Même si je me sentais humiliée par les propos qu'il employait, j'obéissais et me nourissais du sourire pervers et vainqueur que son visage affichait.

 

Arrivés au restaurant, il me souffla la réplique que je devais dire à la réception : "Bonsoir Monsieur, j'ai réservé une table à mon nom : clara whore."

Si tu laisses paraître la moindre émotion ou changes un mot à cela,  je te punierai comme tu ne l'imagines pas encore...

Une fois installés, il choisissait pour moi et disait au serveur que je n'avais pas besoin du menu.

Il m'a ordonné de ne plus le regarder sous peine de punition, de ne m'adresser à lui qu'en le vous-voyant ou pour répondre Oui Maître  (le non devait désormais disparaitre de mon langage courant) et de ne lui poser aucune question sans lui avoir demandé l'autorisation au préalable. Il en fut donc ainsi pour cette soirée et de nombreuses autres.

Pendant le repas il m'expliquait son passé dans le BDSM et me disait qu'il voulait que nous soyons un couple D/s.

 

Ou j'acceptais, ou il prennait une soumise. J'avais un mois pour me décider.

 

En partant du restaurant il me demandait de ramasser la serviette qu'il venait de jeter à terre. Je devais me baisser de sorte à ce que tout le monde voit bien que j'étais nue et pluguée...

Dans le taxi il m'invectivait de le supplier à voix haute "Maître je vous supplie de m'enculer comme une chienne dés notre arrivée. Défoncez moi je vous en prie je veux être votre objet". C'est la voix tremblante que je répétais sans conviction la réplique qu'il me soufflait. Le reste du trajet se déroula dans le silence absolu. Son regard que je cherchais en biais, les yeux baissés, était noir et n'augurait rien de bon.

 

Une fois dans l'ascenceur il me tirait par les cheveux, ouvrait la porte et me poussait à l'intérieur du couloir. Déshabille toi et mets toi à 4 pattes le cul en l'air, le visage à terre et les mains dans le dos. Il me passait une paire de menottes.

Il commenca par me mettre une série de 30 fessées : 20 pour l'avoir regardé à 2 reprises "sous le manteau" et 10 autres pour n'avoir pas parfaitement exécuté un de ses ordres".

Il baissa son pantalon, mis son sexe dans ma bouche et me dit "suce salope et quand je te possèderai dans un moment je ne veux pas t'entendre. Tu n'es pas autorisée à jouir, pas même en silence"

Je voulais crier, pleurer, me révolter. Or ni je ne pouvais, ni je n'osais.

 

Il me pris la bouche, le sexe et me sodomisa comme jamais encore il ne l'avait fait . Il était le mâle, le Maître il m'envahissait et me possédait.

Malgré ma révolte enfouie, j'aimais cela, je ne pouvais le lui exprimer ni me laisser aller à l'orgasme...

Il a jouie de moi. M'a demandé de nettoyer son sexe avec ma bouche. Il a fumé une cigarette en me regardant, là, soumise sur le sol de notre appartement.

Il m'a détachée. M'a prise dans ses bras. M'a appelée par mon prénom et m'a dit "ma chérie, comme tu es belle. Je t'aime". Il m'a fait coulé un bain.

Après cela nous nous sommes couchés. Il m'a fait l'amour longtemps... J'ai jouie très fort.

 

Pour me mettre en confiance, dans un premier temps, il me proposait de vivre une relation switch. J'éprouvais bien moins de plaisir à le dominer qu'à me laisser posséder par lui.

Quelques semaines plus tard je signais mon premier contrat de soumise.

 

En l'espace de 6 mois, je fus façonnée comme l'objet qu'il voulait. Je fus humiliée, exhibée, attachée, fessée, cravachée, pincée, vendue pour certains actes, prêtée, partagée, baisée par tous les trous, pluguée, goddée, dilatée, fistée, punie...

 

 

C'est avec fierté que j'avoue avoir aimé cela, excépté les pinces qui me font toujours très mal :( .

Or ça, Mon Maître, vous le savez déjà.

 

Malheureusement, et par 2 fois, Monsieur (mon ancien Maître) dépassa mes limites contractuelles. Je suis fière de n'avoir pas prononcé le safe word.

Il travaille énormément et doit se déplacer parfois pendant plusieurs semaines dans des pays étrangers. Plus je devenais dépendante de lui, plus je souffrais de ses absences répétées.

C'est ainsi que je quittais mon premier Maître et lui rendais mon collier.

 

Quelques mois plus tard, je rencontrais Maître Man.

Nous prîmes le temps de discuter longuement.

 

L'un comme l'autre vivons un période d'essaie virtuelle.

C'est le 6 aout que celle - ci prendra fin et que Maître Man décidera ou non de me passer mon collier.

 

D'ici là, chaque jour passé loin de mon Maître devient de plus en plus long.

 

J'espère être à la hauteur de mes nouveaux engagements contractuels. J'espère aussi que Maître Man restera un Maître (et l'homme) juste, sévère, imaginatif, doux et patient de sorte à faire de moi la meilleure des soumises qu'il aie eu.

 

Maître, je suis devant vous, droite, à genoux, les fesses sur les talons, tête baissée et les mains sur les genoux (position d'attente) ; prête à être et faire ce qu'il vous plaira.

 

sara votre catin dévouée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mar 20 jui 2010 Aucun commentaire